Le 27 août 2012, le journal Le Monde (daté du 28) dans son supplément Économie a publié un article consacré à l'e-réputation (encore nommée cyber-réputation, web-réputation ou réputation numérique) sous le titre « Protéger sa réputation sur Internet intéresse aussi les particuliers ».
Selon l'auteur, " "Quand votre réputation est salie sur Internet, c'est votre famille entière qui est touchée." Si cette phrase peut vous paraître familière, c'est parce qu'elle a circulé sur Internet et les chaînes de télévision pour promouvoir la nouvelle assurance Protection Familiale Intégr@le d'Axa. Objectif : protéger des risques d'Internet. Si le principe n'est pas nouveau, la cible l'est : car il s'agit désormais de M. Tout-le-Monde."
Ainsi, pour la journaliste Margherita Nasi, "Les "nettoyeurs du Net", ces agences qui s'occupent de retirer du Web des informations gênantes pour leurs clients, existent depuis quelques années, mais leurs clients étaient surtout des institutions. L'ouverture au grand public est un phénomène plus récent."
Parmi les sociétés citées par la journaliste, l'on trouve Les Infostratèges dont les dirigeants se sont spécialisés depuis 8 ans dans la gestion d'image et dans l'e-réputation des entreprises.
Voici un extrait de cet article : "Avec son agence Les Infostratèges, Didier Frochot fait partie des premiers à s'être lancé sur ce créneau en 2004. "Au départ, nous travaillions essentiellement pour des entreprises, raconte-t-il. La donne a changé avec l'avènement du Web 2.0, qui démultiplie les requêtes et marque le début des demandes des particuliers (...).
Preuve que la clientèle est là : d'autres compagnies d'assurances souhaitent développer ce type de services. C'est ce qu'indique Didier Frochot, qui a été en pourparlers avec différents groupes. Ils n'ont pour l'instant pas encore abouti en raison de "la lourdeur des procédures des compagnies d'assurances. Elles exigent une déclaration de sinistres, mais quand vous êtes dénigré sur Internet, c'est dans les heures qui suivent qu'il faut agir, pas au bout de trois jours". C'est pourquoi le cogérant des Infostratèges estime que les petites structures artisanales restent les plus efficaces."